Bassirou Diomaye Faye en médiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (2024)

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PimpMyTrip, l’application de visite aux antipodes de TripAdvisor – Generative AI like Midjourney creates images full of stereotypes TGV: le premier concurrent français de la SNCF a trouvé un milliard d'euros et 12 trains Mode: Shein se rapproche d'une introduction à la Bourse de Londres Intelligence artificielle: ces grandes entreprises qui risquent le décrochage – La blanchisseuse de cryptos piégée par l'achat d'un manoir à 23 millions de livres Que retenir de Viva Tech 2024 ? – L'énergie, l'autre goulet d'étranglement deschampions de l'IA CHRONIQUE. Les chatbots doivent-ils répondre de leurs réponses ? Surveillance numérique: on en veut toujours plus! Japon : à cause des incivilités des touristes, une petite ville hisse un filet opaque pour masquer une vue du mont Fuji Quelles sont les marques françaises les plus puissantes? French tech: les start-up à l'assaut de l'adaptation au changement climatique Le secret de l’hôtel La Butte pour booster ses revenus avec l’IA – Google apologizes for ‘missing the mark’ after Gemini generated racially diverse Nazis Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel Le transport aérien mondial n'arrive plus à répondre à une demande insatiable Le réchauffement climatique freinera la croissance nettement plus que prévu Streaming: les chaînes boostent leurs plateformes avec l'IA IA: Traduction, éducation, handicap… 5 start-up repérées à VivaTech Finance: les risques et bienfaits de l'irrésistible ascension de l'IA La visite très «présidentielle» de Robin Li, le PDG de Baidu, à Paris L'Oréal mise sur le haut potentiel de l'IA dans la beauté Neuralink’s First User Is ‘Constantly Multitasking’ With His Brain Implant Cryptos : les Etats-Unis autorisent des fonds cotés basés sur l'ether References

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (4)Scoop.it!

From www.tom.travel - June 6, 1:26 PM

Le but de PimpMyTrip est de proposer une expérience plus authentique aux voyageurs. Aujourd’hui, beaucoup d’entre eux se rendent sur TripAdvisor pour trouver de bonnes adresses de restaurants ou de musées. Mais les lieux les mieux notés sont bien souvent envahis de touristes qui ont eu la même idée. De plus, chaque voyageur n’a pas les mêmes exigences, ce qui ne permet pas de garantir la qualité de l’expérience.

Le constat de la startup est que les locaux sont rarement visibles par les voyageurs car ils ne s’expriment pas dans les guides ou les plateformes d’avis touristiques. Elle veut donc les replacer au cœur de l’expérience de voyage.

Deux communautés
Lancée en mars dernier, l’application PimpMyTrip s’adresse à deux communautés. D’un côté les Pimpeurs, les locaux qui créent des carnet d’adresses avec leur lieux favoris (bars, restaurants, musées, parcs, etc.) et de l’autre les Pimpés, les voyageurs qui débloquent ces carnets d’adresse pour la somme de 5 euros.

Chaque Pimpeur crée son profil et le complète selon ses habitudes de vie et ses goûts. Il peut préciser par exemple s’il a des enfants, des animaux de compagnie, s’il est sportif, épicurien, s’il est cinéphile ou mélomane. Le Pimpeur gagne 3 euros à chaque fois que son carnet d’adresses est débloqué. Aujourd’hui, 200 villes sont représentées au sein de l’application.

«Le match entre un voyageur et un local est important. C’est comme avoir un ami dans chaque ville du monde qui partage ses bonnes adresses», ajoute Ghislain Foucque, Co-fondateur de PimpMyTrip.

La startup réfléchit à la création d’un tchat, qui permettrait aux locaux et aux voyageurs d’échanger à l’écrit.

Les villes comme partenaires
PimpMyTrip veut également nouer des partenariats avec des villes, afin que celles-ci récompensent les locaux. Lorsqu’une ville est partenaire, le voyageur a la possibilité de débloquer la totalité des carnets d’adresses pour 15€. Une partie de cette somme est ensuite reversée à une ou plusieurs associations choisies par la ville. Les locaux, eux sont invités à répondre à des questionnaires et des sondages et sont récompensés grâce à des avantages (des places pour le théâtre, des concerts, des évènements, etc.).

« L’idée est de créer une interaction entre une ville est ses habitants », déclare Ghislain Foucque.

La startup vient de boucler une levée de fonds de 470000 euros auprès de business angels. Elle souhaite désormais développer des partenariats avec des villes.

Lire l'article complet sur : www.tom.travel

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (8)Scoop.it!

From restofworld.org - June 6, 5:28 AM

It’s not just people at risk of stereotyping by AI image generators. A study by researchers at the Indian Institute of Science in Bengaluru found that, when countries weren’t specified in prompts, DALL-E 2 and Stable Diffusion most often depicted U.S. scenes. Just asking Stable Diffusion for “a flag,” for example, would produce an image of the American flag.

“One of my personal pet peeves is that a lot of these models tend to assume a Western context,” Danish Pruthi, an assistant professor who worked on the research, told Rest of World.

Rest of World ran prompts in the format of “a house in [country],” “a street in [capital city],” and “a plate of [country] food.”

According to Midjourney, Mexicans live in blocky dwellings painted bright yellow, blue, or coral; most Indonesians live in steeply pitched A-frame homes surrounded by palm trees; and Americans live in gothic timber houses that look as if they may be haunted. Some of the houses in India looked more like Hindu temples than people’s homes.

Perhaps the most obviously offensive results were for Nigeria, where most of the houses Midjourney created looked run-down, with peeling paint, broken materials, or other signs of visible disrepair.

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From www.lesechos.fr - June 6, 5:05 AM

La future compagnie privée imaginée par Rachel Picard, ancienne de la SNCF, nommée provisoirement Proxima, a bouclé son financement. Antin IP réunira un milliard d'euros et deviendra son actionnaire à 100%, en vue d'acheter 12 TGV Alstom de dernière génération, à lancer d'ici quelques années sur trois lignes à grande vitesse vers l'Ouest.

Proxima reste un nom de code, et sa future marque commerciale, déjà sélectionnée mais jalousem*nt gardée, ne sera révélée que plus tard. Mais sur bien d'autres aspects, le plan d'affaires du «premier opérateur français indépendant de trains à grande vitesse», imaginé depuis plusieurs années par Rachel Picard, une ancienne dirigeante de la SNCF, avance bien.

Proxima, puisqu'il faut continuer à l'appeler ainsi, se lancera avec une flotte de 12 nouveaux TGV Alstom à deux niveaux (les Avelia Horizon, la même plate-forme que les 115 TGV M commandés par la SNCF qui mettent si longtemps à arriver). Sur quatre destinations de l'Ouest au départ de Paris Montparnasse, vers Bordeaux, Rennes, Angers et Nantes, confirme Rachel Picard. Une première en gestation dans l'histoire du rail franco-français, les seuls concurrents actuels de la SNCF étant des hom*ologues étrangers et publics, Trenitalia et Renfe.

«Quelques mois après 2027»
A quel horizon? En2028, comme l'ont compris certains? Prudente, Rachel Picard, qui sait que le ferroviaire exige un temps long, évoque simplement la livraison des premières rames de tests fixée «début2027», puis le lancement commercial «quelques mois après 2027».

A cette échéance, la nouvelle compagnie privée de TGV pourra alors proposer 10millions de places supplémentaires par an aux voyageurs sur les trois axes du grand Ouest retenus (Angers et Nantes étant sur la même ligne). Sans subventions de l'Etat ni des régions, comme c'est la règle sur la grande vitesse.

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From www.lesechos.fr - June 4, 11:22 AM

La tendance se précise pour Shein. Selon plusieurs médias anglo-saxons, qui citaient lundi des sources proches du dossier, le géant de la « fast fashion » devrait publier dans les jours à venir un projet d'entrée en bourse à environ 60milliards d'euros à Londres, après avoir renoncé à Wall Street.

Le site de vente de vêtements à bas prix, fondé en Chine et installé à Singapour, « prévoit de déposer de façon confidentielle un projet d'entrée en bourse à Londres dans les prochains jours » pour ce qui serait l'une des plus grosses offres boursières des dernières années à la Bourse de Londres, écrit notamment le « Financial Times ».

Le quotidien financier, citant des sources proches du dossier, ajoute que ce projet à 50milliards de livres (soit environ 60milliards d'euros) serait déposé auprès des régulateurs britanniques pour signifier un souhait de cotation. La chaîne de télévision Sky News précise que cela pourrait avoir lieu dès cette semaine mais pourrait également être remis à plus tard ce mois-ci.

Soulagement à la City
Ce serait une bonne nouvelle pour la place londonienne , qui fait face à des départs pour Wall Street ou des choix de première cotation outre-Atlantique, où les entreprises espèrent bénéficier de meilleures valorisations et d'un plus vaste accès à des investisseurs.
Shein envisageait à l'origine une cotation à New York avant d'y renoncer vu un accueil tiède des régulateurs américains, en raison des dissensions entre Washington et Pékin.
En février, Sky News écrivait que le ministre des Finances britannique Jeremy Hunt avait discuté avec le président exécutif de Shein, Donald Tang, d'une cotation à Londres.

Une griffe aux méthodes discutables
Fondé en2008, le site de vente en ligne Shein a rapidement conquis le marché mondial de la mode éphémère ou «fast-fashion», basée sur le renouvellement rapide de collections à prix cassés, ce qui a séduit de nombreux consommateurs en plein bond d'inflation et crise du pouvoir d'achat.
Accusée de travail forcé, de plagiat de modèles de ses concurrents, d'incitation à la surconsommation, montrée du doigt pour l'impact environnemental de ses produits et peu transparente sur sa production, la marque s'attire les foudres des défenseurs de l'environnement et des droits humains.

Le mois dernier, une étude de l'ONG américano-canadienne Stand Earth plaçait Shein à la dernière place d'un classem*nt de l'impact environnemental des marques de «fast fashion». Ce qui n'a pas empêché l'entreprise de réaliser 23milliards de dollars de chiffre d'affaires et 800millions de bénéfices en2022, selon le quotidien américain «The Wall Street Journal».

Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr

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From www.lexpress.fr - June 4, 10:12 AM

Près d’1 entreprise sur 10 ne compte pas du tout intégrer l’intelligence générative artificielle (IAG) dans son activité. C’est l’un des enseignements d’une étude réalisée récemment par Opinion Way par le groupe Dékuple portant sur l’appropriation de l’intelligence artificielle générative au sein des entreprises de plus de 250 salariés en France.

Si parmi les 300 décisionnaires interrogés, 93 % considèrent que l’IAG est une vraie révolution pour les entreprises, certaines ne sont cependant pas encore actives sur le sujet, constate cette étude.

Celle-ci dévoile plusieurs signaux d’un décrochage potentiel face aux avancées très rapides de cette technologie. Tout d’abord, 33 % des entreprises ne prévoient pas d’intégration de l’IAG avant 2025. Ensuite, 30 % des entreprises visent une échéance à seulement 2026, quand 8 % n’ont tout simplement pas prévu de l’intégrer. Seulement 6 % des entreprises ont déjà pleinement intégré l’IAG dans leur organisation. Elles sont d’ailleurs 39 % à n’avoir entamé aucune réflexion ou être seulement au stade de la réflexion sur le sujet de l’IAG. Les entreprises qui n’ont pas encore débuté le processus "doivent y songer le plus rapidement possible sous peine de vivre une nouvelle forme d’ubérisation", met en garde Bertrand Laurioz, PDG de Dékuple, société spécialisée dans l’accompagnement des marques dans leur transition technologique.

Les grandes entreprises à la traîne
Un vrai retard se crée du côté de certaines grandes entreprises, celles qui comptent plus de 5000 salariés. En effet, 9 % des décisionnaires interrogés pensent que l’IAG n’est pas du tout une vraie révolution pour les entreprises contre 2 % pour l’ensemble des décideurs interrogés. Seulement 63 % des décisionnaires de ces entreprises de plus de 5 000 salariés pensent que l’IAG va nécessiter une réorganisation de leur entreprise, contre 83 % pour l’ensemble des décideurs interrogés.

"Force est de constater que pour les grandes entreprises, l’intégration de l’IAG est plus compliquée dans son déploiement pour des raisons de processus plus lourds, de normes à respecter et de coût", explique Bertrand Laurioz, cité dans un communiqué.
Les décideurs ayant intégré ou ayant en projet d’intégrer l’intelligence artificielle dans leur entreprise marquent quant à eux le pas : aucune formation des employés n’est prévue pour 13 % d’entre eux, et un chiffre similaire (11 %) pour les managers. Ces indicateurs "peuvent laisser craindre une forme d’attentisme alors que l’IAG impacte d’ores et déjà les entreprises dans leur organisation et leur business", constate le groupe Dékuple.

Un budget IAG conséquent
Certaines entreprises ne restent toutefois pas les bras ballants. Elles sont ainsi 87 % à avoir prévu un budget IAG dans leur plan d’investissem*nt 2024 et, parmi ces entreprises ayant prévu un budget, 65 % anticipent qu’elles devront investir davantage pour atteindre leur objectif. Près de la moitié des entreprises (48 %) prévoient par ailleurs de consacrer 5 millions d’euros ou plus à l’intégration de l’IAG dans leur organisation. Dans cette perspective, les investissem*nts devraient permettre un gain de productivité d’au moins 20 % pour 6 entreprises sur 10.
"Capacité d’innovation, génération de nouvelles idées" et "optimisations et gains de productivité" se situent sur la première et la deuxième marche du podium des cinq principaux avantages attendus de l’IAG, avec des pourcentages respectifs de 51 % et 47 %.

Par ailleurs, les décideurs interrogés considèrent que les fonctions supports de l’entreprise, comme la finance, la gestion des ressources humaines ou encore le juridique, tireraient respectivement profit de l’intelligence artificielle générative à hauteur seulement de 28 %, 25 % et 13 %, contre 41 % pour le marketing ou 38 % pour la direction informatique

Lire l'article complet sur : www.lexpress.fr

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From www.lesechos.fr - May 27, 6:40 PM

La justice britannique sévit contre le phénomène du blanchiment de cryptomonnaies. Une sino-britannique de 42 ans a été condamnée vendredi à six ans et huit mois de prison par un tribunal londonien pour avoir dissimulé l'origine illicite de millions de livres sterling en bitcoins. Entre2017 et2020, Jian Wen, ex-employée du secteur de la restauration, a aidé à blanchir le fruit d'une vaste arnaque à l'investissem*nt ayant lésé des dizaines de milliers de particuliers, pour un préjudice total évalué à 5milliards de livres.

La fraude était orchestrée par une autre ressortissante chinoise, Yadi Zhang, pour laquelle elle oeuvrait en convertissant les actifs numériques en cash, bijoux et autres biens de luxe. « Il s'agissait d'une opération sophistiquée qui impliquait une importante planification », a déclaré la juge Sally-Ann Hales lors de l'audience.

«Fragile et désespérée»
Jian Wen a plaidé non coupable et fermement nié avoir eu connaissance de l'origine réelle des fonds. «Mlle Wen était une femme fragile et désespérée» qui a été «sans aucun doute dupée et utilisée», a plaidé son avocat, Mark Harries KC. Pour le tribunal, il est pourtant clair que la prévenue avait conscience de la nature frauduleuse de ses actes.
Son implication dans ce stratagème lui a permis de mener un train de vie luxueux. Jian Wen occupait une maison d'une valeur de plusieurs millions de livres, dans un quartier huppé de Londres.

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From www.tom.travel - May 27, 6:39 PM

Il est toujours difficile de parler de tendances dans un salon où il y a tant de thématiques différentes. Il y a bien sûr l’intelligence artificielle et en particulier l’IA générative. Elle était présente à plusieurs niveaux de maturité. Il y avait à la fois des projets de recherches et des solutions relativement matures qui essayent de trouver des grands intégrateurs pour les accompagner dans leur développement commercial. Mais dire que l’IA est partout c’est aussi dire qu’elle est nulle part. Elle est diffuse dans un salon qui ne parle que d’innovation et de transformation. Et quand il y a de l’IA, il y a aussi de la data. Si les entreprises n’ont pas suffisamment de données suffisamment structurées et qualifiées, l’intelligence artificielle n’aura pas la valeur qu’on peut en attendre.

Le Vivant était aussi une grande thématique. Beaucoup de chercheurs reviennent à des solutions bio-inspirées et les entreprises s’inspirent de la nature pour répondre à des besoins. Elles montrent qu’elles répondent aux défis à venir, que ce soit en termes de durabilité mais aussi d’inclusion, avec des projets qui tentent de réparer des handicaps. BiPed AI par exemple propose un harnais doté d’IA à destination des personnes malvoyantes.
Quant à la mobilité, elle était moins marquée que les années précédentes. C’est moins un «car electronic show» qu’auparavant, mais on a vu beaucoup de projets autour de la mobilité douce avec Skwheel et Curvway notamment, des skis et des surfs électriques. Tesla exposait pour la première fois pour présenter son Cybertruck, mais les constructeurs automobile étaient peu présents.

Quelle est la teneur des solutions présentées cette année ? Y a-t-il eu beaucoup de gadgets ?
Je pense qu’il y a eu un retour à des projets très orientés science et ingénierie. C’est un Viva plus deep tech. On ne voit plus autant de gadgets qu’il y a quelque années. Les niveaux de maturité des solutions sont extrêmement variables. Pour la biotech ou la beauty tech par exemple, il y avait autant de choses à voir sur le stand de L’Oréal ou LVMH que chez des petites startups qui traitent de sujets spécifiques. L’une d’entre elle travaille sur l’analyse de peau par exemple, pour identifier des pathologies via les grains de beauté. Sur le stand du Japon, une société travaille autour de la fertilisation des sols. Elle a mis au point un polymère 100% naturel qui va permettre d’augmenter la rétention d’eau de plus de 40%. Il n’y pas un stand qui se contente d’une maquette 3D pour présenter son produit. Chaque produit est le résultat de l’assemblage d’une dizaine de briques technologiques.

Le salon Viva Tech est-il en train de concurrencer le CES ?
Je pense que le salon demande désormais une préparation similaire à celle du CES. Il reste une différence néanmoins : au salon de Las Vegas, ce sont les marques qui déposent leur contenu sur le site internet, on est donc très dépendants de ce qu’on va y trouver. Il est facile de se perdre en moins de trois jours à Viva Tech. Dix startups peuvent traiter du même sujet, mais avec des degrés de maturité et des angles différents. Il faut savoir d’où elles viennent pour comprendre leur valeur ajoutée. Cette trajectoire qu’arrive à pendre la salon, cette densité d’acteurs, cette capacité à inviter de grands speakers, font que Viva Tech s’est trouvé une place dans un écosystème déjà bien saturé. Le fait de proposer des conférences sur chaque stand, d’apporter du contenu menant à des échanges, apporte une vraie valeur ajoutée. Et dans certain aspects, je pense que le CES s’en inspire désormais.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (32)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 27, 6:37 PM

L'accès incertain et à prix prohibitif aux processeurs graphiques (GPU) les plus puissants de Nvidia n'est pas le seul problème qu'affrontent les champions de l'intelligence artificielle. Portés par des investissem*nts tous azimuts, start-up et Big Tech courent aussi après… l'électricité.

C'est une évidence, la tech ne peut rien sans quelques watts. Mais il en faut beaucoup pour l'intelligence artificielle, et notamment celle capable de générer du texte ou de l'image comme ChatGPT. La voracité énergétique des modèles d'IA de Microsoft, OpenAI, Google, Meta, Mistral AI, Anthropic et d'autres est telle qu'elle pourrait bloquer le développement de cette technologie prometteuse.
« Un prompt pour du texte est dix fois plus énergivore qu'une requête classique sur un moteur de recherche », souligne Grégory Lebourg, le directeur des programmes environnementaux du français OVHcloud, en s'appuyant sur des travaux universitaires. Si la commande adressée à l'IA vise à lui faire générer une image, les serveurs consomment en quelques secondes l'équivalent d'une charge complète d'un smartphone, explique par ailleurs une étude conjointe de Hugging Face, du Carnegie Mellon University et de l'Allen Institute for AI.

Dans l'attente d'une percée scientifique
Sam Altman, le PDG et cofondateur d'OpenAI, a lui-même mis le sujet en lumière, en janvier à Davos. «Nous n'apprécions pas encore bien les besoins en énergie de cette technologie», a-t-il prévenu, en se plaçant dans la perspective d'un déploiement plus large qu'aujourd'hui.
En clair, l'amélioration des grands modèles de langage comme GPT, Gemini, Llama ou Mistral Large ne suffira donc pas pour rendre viable une IA capable de raisonner au service de l'humanité ou au moins de servir d'assistant personnel à tout un chacun. « Il n'y a aucun moyen d'y parvenir sans une percée scientifique », faisait-il remarquer, catégorique. Joignant l'acte à la parole, Sam Altman est depuis longtemps investisseur dans de nouvelles technologies énergétiques, notamment la fusion nucléaire via la start-up Helion.

Efficience énergétique à tous les étages
«Il va falloir aussi de l'innovation en matière d'efficience énergétique, de refroidissem*nt des serveurs informatiques, de conception des centres de données», confirme Antonio Neri, le patron de Hewlett Packard Enterprise, la vénérable entreprise américaine numéro un mondial des supercalculateurs.
De passage à Paris pour VivaTech, il assure aux « Echos » que les laboratoires de son groupe regorgent de prototypes, autant pour limiter la chauffe de ses produits - quitte à les immerger complètement dans l'eau - que pour optimiser la consommation électrique des serveurs. Avec notamment l'idée de paramétrer de plus en plus finement les machines, en fonction de la taille et de la complexité des modèles. Et sans recourir automatiquement à des GPU très gourmands.

Des ambitions contrariées
Malgré ces innovations, les plans d'ouverture de nouveaux centres de données dans le monde entier se heurtent par endroits, y compris aux Etats-Unis, à des difficultés d'approvisionnement en énergie. De fait, l'IA se développe au même moment où la voiture s'électrifie et où les pompes à chaleurs se répandent dans les foyers.
En France, pour le moment, le sujet est loin d'être critique : les data centers consomment environ 2 % de la production d'électricité nationale. Selon RTE, cette proportion devrait se limiter à 3 %, voire 4 % à l'horizon 2030-2035. Mais comme ailleurs dans le monde, les tensions sur les raccordements électriques des nouveaux data centers pèsent sur les délais affichés par les nouveaux projets.

Vers le centre de données 1GW
«L'an dernier, et cela sera pareil en2024, les data centers ont été à l'origine de 6gigawatts de nouveaux projets dans le monde, soit deuxfois plus qu'en2022», note Olivier Micheli, le directeur général de l'opérateur de centres de données Data4.
Certains projets sont tout simplement inédits pour tout le monde. « Des centres de données atteindront probablement la barre du gigawatt », notait encore Luc Rémont, le président-directeur général d'EDF, sur la scène de VivaTech.
Tout ceci a bien entendu un coût carbone élevé. Ainsi, le développement de Microsoft dans l'IA lui vaut de s'éloigner de son objectif de neutralité carbone en 2030. « A bien des égards, la Lune est cinq fois plus éloignée qu'elle ne l'était en 2020, si l'on pense simplement à nos propres prévisions concernant l'expansion de l'IA et ses besoins en électricité », a récemment reconnu Brad Smith, le patron des affaires publiques de Microsoft.

Un fort intérêt pour le nucléaire
Le coût de la rareté de l'énergie est aussi sonnant et trébuchant. Avec cette contrainte de se fournir en courant mais autant que possible en courant propre, les enchères montent. Microsoft a, par exemple, signé un partenariat avec le fond d'infrastructure Brookfield pour pouvoir bénéficier des fruits d'un investissem*nt à 10milliards de dollars dans des projets de production d'énergie solaire et éolienne.

Sur ce même front de l'énergie, le géant de Redmond avait aussi publié une offre d'embauche pour un spécialiste des petit* réacteurs nucléaires (SMR)… Ducôté d'Amazon, le rachat d'un centre de données enVirginie s'est récemment accompagné d'un contrat delong terme avec la centrale nucléaire voisine.

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From www.sciencesetavenir.fr - May 27, 6:35 PM

Le 11 novembre 2022, Jake Moffatt se rendit sur le site d'Air Canada pour acheter un billet en vue d'assister aux obsèques de sa grand-mère décédée le jour même. Il y apprit alors, de la bouche - si tant est qu'on puisse parler de bouche ici… - du chatbot de la compagnie, qu'à condition de se manifester dans les 90 jours, on pouvait bénéficier de réductions sur des achats de dernière minute justifiés par un deuil.

Un transporteur condamné à cause d'une mauvaise réponse donnée par son chatbot
Lorsqu'il soumit sa demande, le transporteur aérien lui répondit que contrairement aux affirmations du chatbot, il aurait dû signaler la situation avant de conclure la transaction. Jake Moffatt ne lâcha rien. Après de nombreux et vains envois de courriels, il engagea un procès contre la compagnie. Pour sa défense, l'avocat de celle-ci affirma que "le chatbot est une entité légale à part, responsable de ses propres actions."
L'argument n'a pas convaincu les magistrats. En février dernier, ils ont condamné le transporteur à verser les sommes promises et, en sus, à rembourser les frais de justice. Il y a peu de chance que l'issue d'un procès en Colombie-Britannique fasse jurisprudence de ce côté-ci de l'Atlantique, encore que les avis d'éminents spécialistes divergent sur ce point… Il n'en demeure pas moins utile de tirer la leçon de cette anecdote.

Les chatbots ne sont pas supposés répondre de leurs réponses, au risque d'être inutiles
Elle enseigne qu'un chatbot qui se trouve sur le site d'une entreprise ou d'une administration engage celle-ci lorsqu'il promet un avantage indu ou, à l'inverse, lorsqu'il donne une information erronée susceptible de léser les utilisateurs. D'aucuns exigent, au nom de ce que l'on appelle la "garantie humaine", qu'une personne se porte caution de toutes les décisions prises par une machine.
En l'occurrence, ceci signifierait ici qu'un employé serait censé avaliser tous les propos des chatbots mis à disposition du grand public, ce qui en réduirait singulièrement l'intérêt… La morale de cette histoire, c'est que si les agents artificiels répondent avec prolixité à la plupart de nos questions, ils ne sont pas supposés assumer la responsabilité de leurs propos, et donc répondre de leurs réponses…

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From www.lesechos.fr - May 27, 6:34 PM

Sur le papier, la France est en pointe dans la défense de la vie privée et des données personnelles sur Internet, sur les réseaux sociaux et toute autre forme de programmes informatiques comme l'intelligence artificielle. Dans son rapport 2023, la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés), sous la plume de sa présidente, s'enorgueillit d'avoir reçu 16.433 plaintes , «soit le double d'avant2018 […] Ces chiffres témoignent d'un intérêt croissant du public pour les enjeux 'informatique et libertés', comme le confirment également les presque 12millions de visiteurs ayant consulté le site de la CNIL en2023».

Pourtant, qui se souvient encore que la loi Informatique et Libertés de janvier 1978, instituant la CNIL, a été votée en réaction au projet Safari - (Système automatisé pour les fichiers administratifs et répertoires des individus) - qui visait à utiliser un identifiant unique afin d'interconnecter tous les fichiers que les administrations possédaient sur une même personne ?
L'idée avait soulevé un tollé à l'époque. Aujourd'hui, les bases de données des impôts, des CAF (Caisses d'allocations familiales) ou des CROUS (centres régionaux des oeuvres universitaires et scolaires), par exemple, sont reliées entre elles.

Au volant d'un bolide italien
La chasse à la fraude est même ouverte sur les réseaux sociaux, puisque, selon la loi de finance pour2024 des «agents des finances publiques […] spécialement habilités peuvent […] sous pseudonyme et sans être pénalement responsables, prendre connaissance de toute information publiquement accessible sur les plateformes en ligne […]».
Autrement dit, si vous vous pavanez sur Facebook au volant d'un bolide italien ou allemand, votre déclaration de revenus a intérêt à être à la hauteur. Attention aussi aux images satellites qui peuvent trahir votre piscine non déclarée. Mais, là, l'algorithme de Bercy se tromperait de cible une fois sur trois, selon le syndicat CGT Finances Publiques des Bouches-du-Rhône.
Les logiciels de reconnaissance faciale sont beaucoup plus efficaces, comme l'a démontré ce journaliste canadien qui, fin 2023, a retrouvé en quelques clics une présumée terroriste de la Fraction armée rouge, recherchée depuis plus de trente ans par la police allemande. À l'heure de la vidéosurveillance généralisée, la photo d'une personne constitue un autre « identifiant unique » permettant de la suivre à la trace. Si vous pensez que votre dossier photo est vierge sur Internet ou, pire, le Dark Web, allez jeter un coup d'oeil sur PimEyes…
La situation est encore pire, bien sûr, si vous êtes sur les réseaux sociaux. Qui se souvient encore qu'Edward Snowden, un employé d'un sous-traitant de la NSA (National Security Agency), l'agence du renseignement électronique américaine, avait révélé en 2013, que cette organisation siphonnait allègrement les informations accumulées sur chacun d'entre nous par, entre autres, Microsoft, Yahoo!, Google, Facebook, YouTube, Apple…

Le tout, officiellement, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Le Trans-Atlantic Data Privacy Framework (Cadre de protection des données UE - Etats-Unis), qui régit les transferts de données des citoyens européens vers les Etats-Unis, n'y a rien changé.
C'est une véritable passoire qui avait d'abord été rejetée en avril 2023 par le Parlement européen avant d'être approuvée par la Commission européenne. Dans ce contexte, les reproches de Washington vis-à-vis de la Chine et de son réseau social TikTok auquel sont abonnés 170 millions d'Américains, ne manquent pas de sel. La NSA sait très bien ce qu'une agence gouvernementale peut faire avec autant de données…
Malheureusem*nt, il suffit de discuter des réseaux sociaux avec des collégiens ou des lycéens pour comprendre que les générations qui seront aux manettes dans quelques années se soucient comme d'une guigne de ces « délires de barbouzes ». Ils ne voient même pas où est le problème quand on leur explique qu'un algorithme observe tout ce qu'ils font sur Snap ou Insta et leur pousse des contenus personnalisés afin de leur faire passer toujours plus de temps sur ces plateformes.
Les adultes sont à peine plus lucides. Des recherches ont montré qu'une des motivations qui nous poussent à accepter de laisser toujours plus de traces numériques, malgré le risque qu'elles puissent être utilisées à des fins de profilage commercial ou sécuritaire, pouvait être la tentation de nous survivre à nous-même en nous construisant une forme d'éternité numérique .

Déjà des start-up américaines et chinoises proposent d'utiliser l'intelligence artificielle et toutes les archives numériques qu'ont laissées nos morts pour faire revivre ces derniers sous forme d'un avatar et d'un robot conversationnel. Les réseaux sociaux nous vendront-ils bientôt cette option: créer un double numérique de nous-mêmes dont le chatbot pourra éternellement répondre à tous les reproches de nos descendants, sur des générations et des générations? Les psys vont avoir du travail…

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (44)Scoop.it!

From www.lechotouristique.com - May 26, 5:00 PM

Une petite ville japonaise a installé mardi un haut filet opaque pour masquer une vue du mont Fuji priséepar des hordes de touristes, dont les mauvaises manières excédaient habitants et autorités.

L’annonce de cette mesure radicale le mois dernier par la mairie de Fujikawaguchiko, dans le centre du Japon, avait fait beaucoup de bruit tant dans le pays qu’à l’international, en devenant un nouvel exemple des conséquences du surtourisme.
Les autorités locales l’avaient justifiée par les incivilités de nombreux touristes étrangers sur place, jetant des déchets par terre, fumant en dehors des zones autorisées, traversant la route au feu rouge ou se garant n’importe comment. Certains grimpaient même sur le toit d’une clinique dentaire à proximité, en toute illégalité, pour pouvoir prendre de meilleures photos.
Des ouvriers ont commencé mardi à installer le filet de 2,5 mètres de haut pour 20 mètres de long, fixé à des poteaux métalliques, et avaient quasiment terminé l’opération en fin de matinée, a constaté l’AFP sur place.

Une photo emblématique
Les travaux ont commencé début mai mais le chantier a duré plus longtemps que prévu à cause de problèmes d’approvisionnement en matériaux.
Les photographies, prises d’un trottoir étroit le long d’une route très passante, étaient devenues extrêmement populaires sur les réseaux sociaux comme Instagram, car elles combinaient une vue du majestueux volcan avec au premier plan une supérette Lawson et son parking, une forme de symbole du Japon contemporain.
« C’est dommage » qu’un filet soit installé « parce que c’est clairement une photo emblématique », regrette Christina Roys, une touriste néo-zélandaise de 36 ans interrogée mardi par l’AFP sur place.
« Mais c’est totalement compréhensible » parce que cet endroit attirait tellement de monde et que c’était « assez dangereux » avec le trafic routier juste à côté, ajoute-t-elle.
Elle pense cependant que le filet ne va pas empêcher les touristes de continuer à venir en masse dans les environs. Car le mont Fuji, le sommet le plus haut du Japon (3776 m), peut bien évidemment être photographié de nombreux autres endroits, y compris à Fujikawaguchiko.

Les tour-opérateurs s’adaptent
«Le lac Kawaguchi et le mont Fuji sont des lieux magnifiques. J’espère que tout le monde pourra admirer ces beaux paysages tout en respectant les bonnes manières», déclare à l’AFP Michie Motomochi, 41 ans, qui tient un magasin de pâtisseries japonaises traditionnelles à Fujikawaguchiko.
Un tour-opérateur proposant des excursions autour du mont Fuji depuis Tokyo a confié à l’AFP qu’il emmenait désormais des touristes vers un autre magasin Lawson à proximité avec une vue similaire sur le volcan, mais avec moins de riverains à proximité.
Les autorités locales ont prévenu qu’elles comptaient laisser la barrière en place aussi longtemps que nécessaire, le temps que la situation s’améliore.

Une jauge de 4000 personnes sur le sentier
L’accès à un sentier de randonnée très populaire pour gravir le mont Fuji de juillet à septembre sera désormais payant (autour de 12 euros) et limité à 4000 personnes par jour. Un système de réservation en ligne vient d’être mis en place.

Et dans l’ancienne capitale impériale Kyoto (ouest), certaines ruelles dans le quartier des geishas sont fermées au public depuis le mois dernier.
Le conseil local du quartier de Gion avait déploré le fait que certains touristes se comportaient comme des « paparazzi » en poursuivant les geishas pour les prendre en photo sans leur autorisation, et se croyaient dans un « parc d’attractions ».
Le Japon s’était totalement fermé aux visiteurs étrangers durant la pandémie de Covid-19.

Mais depuis que ses frontières ont été complètement rouvertes fin 2022, les touristes internationaux y affluent de nouveau, d’autant que la chute du yen rend le pays bon marché pour nombre d’entre eux.

Plus de trois millions de visiteurs sont venus dans l’archipel nippon en mars, un record mensuel pour le pays, et ce seuil a de nouveau été atteint en avril.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (48)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 26, 10:03 AM

Les marques françaises se portent bien. Mais ne doivent pas relâcher leur attention. En2024, les 150 plus puissantes voient leur valeur progresser moins vite qu'avant, à 7% contre 13% en2023 et 17% en2022, dans le classem*nt de Brand Finance consacré à l'Hexagone.

La performance reste meilleure qu'en Allemagne, qui n'est qu'à +5 %. Et largement au-dessus du Royaume-Uni où le poids global recule de 1 %.
« Cela représente un bon score. Mais la force des marques elle-même est en retrait en France alors qu'elle grandit ailleurs en Europe. Elle n'est pas à la hauteur où elle devrait être pour gagner en compétitivité. Il faudrait davantage investir sur la communication, l'expérience clients, la promotion et la distribution », juge Bertrand Chovet, directeur général de Brand Finance France.

Le luxe, toujours en tête
Certains secteurs se montrent cependant particulièrement vigoureux en matière de valeur. Comme le luxe. Il reste, sans conteste, le champion des griffes hexagonales. Louis Vuitton, première marque de LVMH (propriétaire des « Echos »), occupe aussi la pole position dans le classem*nt. Brand Finance la valorise à 30,1 milliards d'euros, en hausse de 19 % par rapport à 2023.

L'image d'Air France redécolle
A 24,3 milliards, Chanel s'arroge la deuxième place, contre la troisième l'an dernier, et gagne 30 %. Dans le Top 10 figurent aussi Hermès, Dior, autre maison de LVMH, et Cartier.

TotalEnergies parmi les perdants
Si leur dynamisme conforte leur domination, les plus fortes progressions relèvent d'autres univers. Edenred a ainsi vu, selon Brand Finance, sa valeur de marque croître de 45 % à 1,2 milliard. Le leader mondial des avantages aux salariés s'affiche désormais au 82e rang au lieu du 101e en 2023. « La marque a réussi à assembler sous un toit commun toutes ses offres, tout en menant une digitalisation croissante et une stratégie active de croissance externe », souligne Bertrand Chovet.
Autre grand gagnant de2024: Darty, qui enregistre une hausse de 38% de sa valeur. «La marque a su se simplifier et jouer les synergies autour de sa marketplace. Elle gagne en considération, ce qui est prometteur pour les années à venir», estime le directeur général de Brand Finance.Varilux, Alpine ou Bic connaissent aussi de très belles progressions.

Parmi les relatifs perdants de l'année figure TotalEnergies, avec une valeur en retrait de 21%. Le reflet de résultats rentrés dans le rang .Le groupe est rétrogradé de deux places. Mais il n'en occupe pas moins la quatrième position. Tandis qu'EDF retrouve le Top10, en passant du 12e rang au 9e entre2023 et2024.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (52)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 26, 10:01 AM

Le climat se dérègle, les villes ont de plus en plus chaud ou subissent des inondations, la ressource eau se raréfie… autant de situations qui montrent que des pays comme la France ne sont pas épargnés par le changement climatique, l'un des thèmes abordés à VivaTech, le Salon de la tech qui se déroule cette année du 22 au 25 mai.

La Salon met en avant la pépite française Value Park, qui utilise le froid de l'eau de mer profonde pour refroidir les bâtiments et les modes de transport. Le sujet du refroidissem*nt est pris d'assaut par plusieurs start-up de la French Tech, comme Caeli Energie qui développe des systèmes de refroidissem*nt bas carbone en BtoC et BtoB. La start-up a levé 10millions d'euros (dette et equity) l'année dernière.
Mais la notion d'adaptation traverse en réalité divers secteurs. Celui de l'agriculture, notamment sur mieux gérer le stress hydrique et la ressource eau, comme Elicit Plant, Sencrop ou Weenat. Celui, aussi, de la « smart city ». Plusieurs innovations ont vu le jour dans les matériaux, avec des isolants, des bétons pour prévenir ou réparer les fissures liées à la chaleur, ou encore le « cool roofing », des revêtements à poser sur les toitures pour rafraîchir les bâtiments.

«Smart city»
La fraîcheur se développe aussi au sein des villes, en particulier grâce à la végétalisation. C'est le parti pris d'Urban Canopée, qui développe des corolles créant des îlots de fraîcheur en zone urbaine. «Ce sont des sujets qui sont maintenant regardés, contrairement à nos débuts en2016», souligne Elodie Grimoin, la cofondatrice. Sa start-up, qui a réalisé 2,2millions de revenus, contractualise au trois-quarts avec des collectivités.
Travailler au niveau des villes, le BtoG (de l'entreprise vers le secteur public) est toujours plus complexe, avec un temps de contractualisation souvent long et fluctuant selon les échéances politiques. « Nous essayons d'aller plus vers le domaine privé. Une ville reste limitée par sa place, mais un grand compte à des projets partout en France », poursuit la cheffe d'entreprise, qui a levé des fonds auprès d'un industriel (ARaymond).
Les start-up du secteur restent encore peu financées par des fonds de capital-risque. « En France et en Europe en général, il est plus urgent de penser à des solutions de mitigation du changement climatique plutôt que de l'adaptation, contrairement à des continents comme l'Afrique. Cela tant cependant à évoluer », remarque Maelis Carraro, directrice associée chez Catalyst Fund, un fonds qui investit dans les greentechs africaines.

Risque climatique
«Le flux de dossiers est faible. Vous avez quelques sociétés de prévention, comme des portes anti-inondation ou des boudins gonflables. Des start-up qui travaillent sur le problème de sécheresse agricole. Mais elles restent assez peu nombreuses», renchérit un autre investisseur dans l'impact.
Floodframe développe justement un airbag anti-inondation pour les maisons, qui se déclenche automatiquement quand l'eau monte. « Le marché du risque, c'est entre 15 et 30 entreprises qui travaillent sur ce secteur. Les plus grosses réalisent une petite dizaine de millions d'euros de chiffre d'affaires par an. Le marché pourrait être beaucoup plus fort au regard du potentiel », estime Philippe Dussoulier, le directeur opérationnel de la start-up.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (56)Scoop.it!

From www.tom.travel - June 6, 1:25 PM

L’hôtel breton La Butte a vu son expérience client et ses ventes transformées grâce à l’intelligence artificielle (IA). Après avoir intégré les solutions d’IA de HiJiffy, La Butte a non seulement amélioré la satisfaction de ses clients, mais aussi augmenté significativement ses revenus.

Cette success story démontre que les outils d’IA ne sont pas réservés aux grands groupes hôteliers et qu’ils peuvent apporter des résultats remarquables, même pour les petites structures indépendantes.

Des campagnes WhatsApp personnalisées pour préparer l’arrivée des clients
Le charmant hôtel de trente chambres a décidé de se démarquer en améliorant l’expérience client grâce à des campagnes WhatsApp personnalisées, développées par HiJiffy.

Avant même l’arrivée des clients, deux campagnes distinctes sont envoyées : la première une semaine avant le séjour, la seconde la veille de leur arrivée. Ces messages automatisés incluent toutes les informations nécessaires pour un séjour sans accroc, ainsi que des détails comme la météo prévue.
Résultat ? Un accueil personnalisé et une expérience client améliorée, le tout sans efforts supplémentaires pour le personnel de l’hôtel.

Stimulation des ventes additionnelles
L’IA de HiJiffy ne se contente pas de personnaliser l’accueil, elle stimule également les ventes additionnelles. En intégrant des boutons cliquables dans les messages WhatsApp, La Butte offre à ses clients une manière simple et rapide de réserver des services supplémentaires.

Cette stratégie a permis d’atteindre un taux d’ouverture impressionnant de 93 %, générant près de neuf fois plus de clics qu’une campagne email traditionnelle.

Les résultats sont sans équivoque : une augmentation notable des réservations pour des services additionnels, contribuant directement à l’augmentation du chiffre d’affaires de l’hôtel.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (60)Scoop.it!

From www.theverge.com - June 6, 5:27 AM

Google has apologized for what it describes as “inaccuracies in some historical image generation depictions” with its Gemini AI tool, saying its attempts at creating a “wide range” of results missed the mark. The statement follows criticism that it depicted specific white figures (like the US Founding Fathers) or groups like Nazi-era German soldiers as people of color, possibly as an overcorrection to long-standing racial bias problems in AI.


“We’re aware that Gemini is offering inaccuracies in some historical image generation depictions,” says the Google statement, posted this afternoon on X. “We’re working to improve these kinds of depictions immediately. Gemini’s AI image generation does generate a wide range of people. And that’s generally a good thing because people around the world use it. But it’s missing the mark here.”

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (64)Scoop.it!

From www.lepoint.fr - June 4, 11:26 AM

Le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, était jeudi au Mali, où il s’est entretenu avec le président malien par intérim, Assimi Goïta, avant de se rendre à Ouagadougou dans la soirée. © Présidence du Sénégal/ X


Après le Mali, le président sénégalais était, jeudi après-midi, au Burkina Faso. La deuxième étape de son voyage dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel (AES), qui regroupe lesdeux pays qui, avec le Niger, ont annoncé, en janvier dernier, leur sortie de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao), qu'ils accusentd'être encore trop dépendante de l'ex-puissance coloniale française et de ne pas les avoir assez soutenus contre le djihadisme. À l'issue de ses échanges avec les deux dirigeants putschistes Assimi Goïta et Ibrahim Traoré, le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, investi en avril, a jugé qu'une réconciliation est possible entre l'organisation régionaleet les trois pays du Sahel.
Le chef de l'État sénégalais est jugé crédible par les analystes, car tout comme les régimes militaires qui ont pris le pouvoir lors de putschs successifs au Mali, au Burkina Faso et au Niger mais aussi en Guinée, depuis 2020, il prêche le panafricanisme et le souverainisme. Et ce même s'il a choisi la voie des urnes pour se faire élire à 44 ans, plus jeune président du Sénégal, sur la promesse de rupture avec le « système », selon lui, par son prédécesseur. Il avait aussi prôné une rupture avec le franc CFA. « Ces visites s'inscrivent dans une dynamique de renforcement des liens historiques de bon voisinage, d'amitié fraternelle, de solidarité et de coopération multiforme », avait annoncé la présidence sénégalaise.


Une carte diplomatique difficile à jouer
Le Niger, le Mali et le Burkina Faso ontformé l'Alliance des États du Sahel en 2023et fondé une force antidjihadiste conjointe. Le chef de l'État sénégalais, fer de lance d'une approche panafricaniste, a dit avoir longuement parlé de la Cedeao avec son premier hôte, le chef de la junte malienne, Assimi Goïta. La position malienne, «quoique rigide, n'est pas totalement inflexible», a-t-il déclaré à la presse au côté du colonel Goïta. La Cedeao est «très malmenée», mais «nous ne devons pas nous résigner et dire qu'on ne peut plus rien faire. Il y a des difficultés, il faut parler aux uns et aux autres et les comprendre et, à partir du niveau de compréhension et des écarts de position, voir ce qu'il est possible de bâtir sur le socle quiexiste», a-t-il ajouté, avant de préciser: «Je ne désespère pas de voir la Cedeao repartir sur des bases nouvelles, qui nous éviteront de revivre par la suite la crise que nous traversons aujourd'hui.»
Au-delà du symbole, cette visite avait aussi un volet concret : l'économie. Le Sénégal partage des centaines de kilomètres de frontières avec le Mali et entretient avec lui d'importantes relations commerciales, notamment via le port de Dakar. La situation sécuritaire du Mali et du Sahel et le risque de propagation du djihadisme au Sénégal réputé pour sa stabilité préoccupent fortement Dakar depuis de nombreuses années. La sécurisation de la frontière sud-est du Sénégal constitue en particulier un enjeu de taille. Dakar veut éviter à tout prix les infiltrations de groupes djihadistes. Il en va aussi de même des relations économiques et commerciales entre les deux États, surtout à deux semaines de la fête de la Tabaski. Le Sénégal est le premier partenaire économique de Bamako. L'arrivée des moutons du Mali pour la « fête du mouton », était, donc, au cœur des discussions, tout comme le dossier de la restauration du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
À Ouagadougou, Bassirou Diomaye Faye a également évoqué la Cedeao avec le chef du pouvoir militaire, le capitaine Ibrahim Traoré. « Je comprends aujourd'hui que les positions sont quelque peu figées, mais je perçois dans chacune de ces positions une fenêtre d'ouverture qui permet de nouer un fil de dialogue », a déclaré le président sénégalais, cité dans un communiqué du pouvoir burkinabé. Sur le volet bilatéral, le chef de l'État sénégalais a affirmé « l'engagement » de son pays « aux côtés » du Burkina. Les deux États souhaitent « raffermir » leurs « relations », notamment sur « le plan commercial ».

C'est la 10e visite d'un pays africain pour le nouveau dirigeant sénégalais, «une option qui en dit long sur la place de choix qu'occupent le renforcement du panafricanisme et la redynamisation de l'intégration sous-régionale dans ses priorités diplomatiques», a fait valoir legouvernement.Bassirou Diomaye Fayea cependant assuré ne pas être venu à Bamako et à Ouagadougou en tant que «médiateur de la Cedeao», mais pour une «prise de contact» qui l'a conduit dans plusieurs autres pays africains, dont la Côte d'Ivoire, le Nigeria ou encore le Ghana, dont le président, Nana Akufo-Addo, l'a chargéde jouer un rôle dans la résolution de la crise entre l'AES et l'organisation régionale. «Je ne suis mandaté par aucune instance de la Cedeao», a-t-ilinsisté jeudi le président sénégalais.À chacune de ces étapes, il a été question de l'avenir de l'organisation mais aussi, plus largement, de celui de la démocratie dans la sous-région ouest-africaine qui se trouve à un tournant majeur de son histoire.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (68)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - June 4, 10:19 AM

Le transport aérien n'a plus de problème de demande - le trafic mondial devrait approcher les 5milliards de passagers cette année -, mais il est désormais confronté à un sérieux problème d'offre. Les compagnies aériennes manquent d'avions neufs, de pièces détachées pour la maintenance, de créneaux dans les principaux aéroports, notamment en Europe, et de carburant d'aviation durable pour réduire leurs émissions de CO2.

Les représentants des compagnies aériennes, réunis ce lundi à Dubaï pour l'assemblée générale annuelle de l'Association des compagnies aériennes internationales (IATA), disent tous la même chose. Alors que la croissance du trafic est repartie à un rythme supérieur à celle d'avant-Covid, les moyens leur manquent pour pouvoir satisfaire cette demande.

Trafic et bénéfices record
Ce n'est pas un problème d'argent. Avec le retour en masse des passagers, les tarifs aériens et les bénéfices des compagnies aériennes se sont envolés depuis deux ans. Pour2024, l'Iata a encore revu à la hausse sa prévision de bénéfices et table désormais sur un bénéfice net record de 30,5milliards de dollars, contre 27,4milliards en2023. Leur chiffre d'affaires cumulé, en hausse de 9,7% sur un an, devrait frôler, pour la première fois, les mille milliards de dollars, pour un trafic mondial record, de 4,96milliards de passagers.

Ce n'est pas non plus un manque d'anticipation. Les commandes d'avions neufs atteignent également des niveaux records, avec plus de 15.000 avions à livrer pour Airbus et Boeing . Le problème le plus immédiat est celui des retards de livraison d'Airbus et de Boeing. «C'est un sujet de frustration pour tous les dirigeants de compagnies aériennes, souligne le directeur de l'Iata, Willie Walsh. Cela oblige les compagnies à reporter des ouvertures de lignes et à conserver ou à remettre en service des avions anciens. Et cette situation devrait se prolonger jusqu'en2025, voire 2026», estime-t-il.

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From www.lesechos.fr - May 27, 6:41 PM

L'impact du réchauffement climatique sur la croissance économique a déjà fait couler beaucoup d'encre , mais le document de travail que vient de publier le National Bureau of Economic Research (NBER) pourrait bien faire date. Selon ses deux auteurs, Adrien Bilal et Diego Känzig, respectivement économistes à Harvard et à Northwestern University, une hausse de la température mondiale de 1°C provoquera une baisse du PIB mondial de 12%, au bout de six ans.

Selon eux, le réchauffement de 0,75 °C constaté entre 1960 et 2019 pèse déjà sur l'économie de la planète : sans lui, le PIB mondial serait plus élevé de 37 %. Les deux économistes ont aussi calculé qu'une nouvelle hausse de 2 °C d'ici à 2100 conduirait à une baisse du PIB mondial de 50 %, compte tenu des effets cumulatifs des dommages subis sur la durée.

Effondrement économique
Dit encore autrement, l'émission d'une tonne de carbone engendre un coût économique de 1.056dollars (973euros): réparation des dégâts après des catastrophes climatiques, destruction de capital, détérioration de la santé, baisse de productivité…
« Cet impact est six fois plus élevé que celui qui ressort des analyses économiques menées jusqu'à présent sur le sujet, indique Adrien Bilal, rencontré lors d'un passage à Paris. Et encore, nous avons pris des hypothèses très conservatrices. » En Europe, le coût du carbone est même plutôt aujourd'hui estimé autour de 100 dollars, tandis que l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) table sur 180 à 190 dollars.
Même s'il n'a pas encore fait l'objet de relecture par des pairs pour publication « officielle » dans une revue, ce document a déjà été remarqué, et très commenté. « Cette étude est remarquable », relève Thomas-Olivier Léautier, chef économiste chez TotalEnergies, ex-directeur de recherche à Toulouse School of Economics. « Elle réconcilie la littérature économique néoclassique avec la vision des scientifiques, qui se sont longtemps étonnés du faible impact macroéconomique estimé jusque-là. » Xavier Jaravel, professeur à London School of Economics, y a également consacré une chronique dans nos colonnes.

Dans les années1970, le rapport Meadows, écrit par des scientifiques américains, avait été le premier à évoquer les limites des ressources naturelles et à prédire un effondrement économique lorsqu'elles seraient atteintes. Mais les économistes avaient alors opposé à son raisonnement l'absence de prise en compte des prix. «Selon eux, l'économie allait se réguler grâce à l'augmentation des prix liée à la rareté croissante des ressources», explique Thomas-Olivier Léautier.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (76)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 27, 6:40 PM

Depuis l'arrivée de TF1+ en janvier, puis de M6+ ces dernières semaines, les chaînes multiplient les efforts pour émerger dans le streaming gratuit. Contenus, marketing… dans la guerre pour l'attention qui les oppose également aux «streamers» payants à la Netflix, le match se joue aussi sur l'amélioration de l'«expérience utilisateur».

Dans ce but, TF1+ vient de présenter son nouveau moteur de recommandation. Baptisé « Synchro », cet outil à base d'intelligence artificielle (IA) va être déployé progressivement, dès cette semaine sur les téléviseurs connectés puis, courant juin, sur les box des opérateurs télécoms. En accord avec la ligne éditoriale de TF1, son algorithme s'adapte aux usages de tout un foyer.
Quant à M6+, la plateforme renouvelée de la Six aura un nouvel outil de recherche des programmes à base d'IA d'ici la fin de l'année. Chez Arte, les équipes de la chaîne franco-allemande développent aussi un outil à base d'IA pour la plateforme Arte.tv. Interrogé également, France Télévisions dit travailler quotidiennement à l'innovation de France.tv mais ne détaille pas ses projets.

11minutes perdues à choisir quoi regarder
Tous cherchent à s'inspirer de Netflix, qui a construit au fil des années un puissant algorithme à base de «machine learning», en croisant les données de visionnage de centaines de millions d'utilisateurs dans le monde entier. Même si chaque «streamer» a son approche, le problème est le même: la «découvrabilité». Selon une étude Toluna pour TF1, sur l'ensemble des plateformes de streaming, les Français perdent en moyenne 11minutes à choisir quoi regarder!
Sur TF1+, qui propose 15.000 heures de contenus à tout moment, Synchro permet d'ores et déjà de constituer un groupe - jusqu'à cinq personnes - et ensuite choisir. L'algorithme conçu par TF1 (qui a mobilisé une cinquantaine d'ingénieurs, data scientists…) se fonde sur une IA qui retient les historiques de chaque connexion et ajuste en conséquence les propositions en page d'accueil.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (80)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 27, 6:39 PM

Pyannote, la reconnaissance vocale open source

Lancée il y a six semaines, la start-up PyannoteAI développe des modèles d'intelligence artificielle vocale. Objectif: réussir la «diarisation», à savoir, déterminer automatiquement qui parle et quand? dans un enregistrement audio ou vidéo.
« Le modèle s'attache au son, au timbre de la voix et non pas à la langue. Nous avons des utilisateurs allemands, américains, russes, indiens… » précise Vincent Molina, le cofondateur.
Issue des recherches du CNRS , la technologie est disponible librement. « Ma mission était de diffuser la savoir. J'avais tout mis dans une bibliothèque open source. Des milliers d'entreprises utilisaient mes travaux de recherche », précise Hervé Bredin, cofondateur de la société et chercheur au CNRS. L'outil est disponible en freemium, avec un abonnement pour les cas d'usage professionnels.
La start-up pourrait cibler les marchés de la transcription, de l'audiovisuel ou du secteur de la santé, notamment dans les consultations médecin-patient, dans un environ fermé, grâce à une API ou en local. A VivaTech, la start-up a remporté le « Deeptech Challenge Pitch Contest ».

Stellia, l'assistant qui enseigne
Stellia. AI développe un «assistant de connaissance» personnalisé grâce à l'intelligence artificielle générative, utilisant les LLM (grands modèles de langage), en particulier dans le domaine de l'éducation. La start-up de 25 employés contractualise avec l'enseignement supérieur, comme le Centre national d'enseignement à distance et des universités américaines.
Pour faciliter son déploiement, elle cherche à se diversifier. « L'objectif est de développer la partie privée, en particulier les grands groupes et leurs salariés. Ensuite, nous continuons de développer la tech pour aller vers plus de personnalisation et prendre en compte le profil de chaque utilisateur », confie Samy Lahbabi, le cofondateur de la start-up, incubée à l'Ecole polytechnique. La start-up a levé 4 millions d'euros en 2022 auprès des fonds Innovacom et Inco Ventures.

NcodiN, le composant derrière l'IA
L'intelligence artificielle connaît un essor spectaculaire et est favorisée par le développement de microprocesseurs de plus en plus puissants. «Or, la limite qui bloque la scalabilité de la circulation de l'information dans les microprocesseurs, c'est le cuivre», rappelle Francesco Manegatti, le patron de NcodiN, une start-up qui s'appuie sur les travaux de recherche qu'il a menés au Centre de nanosciences et de nanotechnologies (C2N).
NcodIn entend briser ce « mur du cuivre » en développant des composants reposant sur une technologie d'interconnexion optique. La promesse ? Permettre une transmission de données à haute vitesse et de façon plus sobre.
Les prototypes de NcodiN sont fabriqués dans la salle blanche du C2N. « C'est un avantage unique puisque cela nous permet de fabriquer une puce en trois semaines et donc d'accélérer notre R&D. Cela aide aussi à développer des preuves de concept pour les clients », rembobine le dirigeant, qui espère vendre ses produits à des sociétés comme Intel, Nvidia, Qualcomm ou AMD.

Biped, l'IA au service du handicap
Bruno Vollmer et Maël Fabien ont créé en2020 Biped.ia, une start-up qui propose un harnais porté sur les épaules pour accompagner les personnes malvoyantes et aveugles lors de leurs déplacements. Equipé de trois caméras grand-angle et infrarouges, l'appareil permet d'avoir une vision à 70° et d'être utilisé la nuit.
Le harnais peut se connecter à des écouteurs ou à un casque afin d'avertir l'utilisateur des obstacles avec des sons spatiaux. Grâce à des algorithmes d'IA, cet appareil de moins d'un kilo décrit l'environnement. Il permet d'identifier des obstacles à plus de cinq mètres de distance, placés au niveau de la tête (branche, panneau de signalisation, etc.), au niveau du sol (trous, pierres, etc.) et les obstacles latéraux.
Après deux ans de R&D, Biped.ia est entrée en phase de commercialisation, dans un premier temps avec 50 unités. L'objectif sur l'année est de 200 unités, vendues au prix de 4.300 euros. L'entreprise installée à Lausanne, en Suisse, a déjà levé 2,6 millions d'euros.

Lipitt, l'outil pour doubler les vidéos
La traduction est un secteur secoué par la révolution de l'intelligence artificielle. La preuve avec la jeune pousse allemande DeepL , qui vient de lever 300millions de dollars sur une valorisation de 5milliards de dollars. En France, cela bouge aussi. Créée en juillet2023, Lipitt est une solution de traduction consacrée à la vidéo.
Dans le détail, la jeune pousse a développé une plateforme qui, en un clic, permet de traduire des vidéos avec des sous-titres. La start-up, qui travaille notamment avec Gladia, fait aussi du clonage de voix et de la synchronisation labiale afin de rendre l'expérience encore plus fluide. « Nous faisons de la traduction en trente langues », précise son fondateur, Antoine Ménager, qui avait vendu sa précédente société (Signifia) en 2022.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (84)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 27, 6:36 PM

L'intelligence artificielle (IA) est perçue comme un nouvel outil prometteur pour décrypter le monde, l'économie et les marchés financiers. Elle extrait du sens du chaos apparent.Cette intelligence «inhumaine» dans sa surpuissante capacité à brasser et analyser des masses d'informations et de données, a logiquement attiré l'attention du monde bancaire et financier. En quête de gains de productivité, de temps et de moyens, il souhaite automatiser le plus de fonctions possibles. Or l'IA est parfaitement adaptée aux tâches plus ou moins routinières de la finance (conformité, documents marketing…), qu'elle automatise en éliminant les erreurs humaines.

Ce bienfait de l'IA au niveau micro fait largement consensus, à la différence de son effet incertain sur le système financier. Sans contrôle adéquat, cette avancée technologique serait susceptible d'accroître l'instabilité financière et, dans certains cas, les crises, met en garde un article (1) des économistes et chercheurs de la Banque centrale européenne (BCE), publié dans la dernière revue de stabilité financière.
Garantes de la stabilité, les banques centrales perçoivent qu'elles assistent à une révolution qui les dépasse, bien plus par exemple que celle des fintechs (les sociétés à mi-chemin entre la finance et la technologie). L'IA est un secteur qui nécessite beaucoup de moyens, ce qui favorise, sur le modèle des Gafam, sa dimension oligopolistique dominée par quelques géants comme OpenAI . Les économistes voient dans cette possible concentration une vulnérabilité pour le système financier. Si un modèle unique de l'IA venait à se généraliser, il introduirait de nouveaux bienfaits mais aussi de nouveaux types de risques de comportements moutonniers dans un système financier déjà complexe.

L'ère des «deepfakes»
Les autorités monétaires n'ont pas gardé un excellent souvenir des initiatives lancées sur leur pré carré par certains Gafam, comme Meta avec sa monnaie 2.0, le Libra, qui finalement échoua après avoir tenté de passer en force. Elles redoutent de revivre cet affrontement avec les nouveaux géants de l'IA. Ils imposeront leurs standards sans faire preuve de transparence (pour protéger selon eux leurs secrets et leur valeur ajoutée), ni de volonté de réel dialogue avec les régulateurs. Plus puissants, réactifs et informés (accès aux données), ils auront vraisemblablement toujours un temps d'avance sur les banques centrales.
L'IA sera utile pour neutraliser certaines vulnérabilités financières, mais au prix de nouvelles sources d'incertitudes globales. Elle sera peu efficace pour anticiper et prévenir les grandes crises, des événements extrêmes, rares dans leur fréquence et uniques dans leur forme, pour le moment hors de la portée de son « intelligence », fondée sur l'étude de nombreux cas passés, selon l'analyse (2) de deux économistes de la London School of Economics. Utilisée par des esprits mal intentionnés, l'IA pourrait aussi servir à contourner les réglementations financières et bancaires, ou à manipuler les actifs financiers grâce aux « deepfakes ». Prises au sérieux, les fausses déclarations de banquiers centraux ou de dirigeants d'entreprises pourraient semer le chaos sur des marchés qui réagissent au millionième de seconde.

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Bassirou Diomaye Faye enmédiateur entre la Cedeao et les États putschistes du Sahel | Big Data in Business (88)Scoop.it!

From www.lesechos.fr - May 27, 6:35 PM

Une longue poignée de mains avec Emmanuel Macron à l'Elysée, une intervention à VivaTech, une nuit au Crillon: c'est une visite quasi présidentielle que vient d'effectuer Robin Li, le PDG de Baidu, le Google chinois, à Paris, à l'occasion du grand salon de la tech organisé par «Les Echos» et Publicis. Un séjour millimétré et qui arrive au moment où la France et la Chine reprennent le dialogue, quelques semaines après la visite du président chinois Xi Jinping à Paris début mai, dans le cadre du 60e anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays.

Malgré ce contexte porteur, la présence de Robin Li à Paris était loin d'être acquise. Et pour cause : si Tim Cook (Apple), Sundar Pichai (Google) et Sam Altman (OpenAI) viennent régulièrement à Paris, les patrons de la tech chinoise, eux, se font plus rares en France et globalement à l'étranger. Le Covid-19 et la rivalité sino-américaine y sont pour beaucoup. Chez Huawei, par exemple, les trois dirigeants tournants ont l'interdiction expresse de quitter la Chine : en 2018, l'arrestation au Canada, à la demande des Etats-Unis, de Meng Wanzhou, la directrice financière et héritière du groupe, sur le tarmac de l'aéroport à Vancouver où elle venait d'arriver, a été vécue comme un traumatisme.

Depuis la pandémie, Robin Li, lui, n'avait effectué que quelques déplacements à l'étranger, dont un en Inde début 2020. Pour sécuriser sa venue à Paris, Maurice Lévy, le président du conseil de surveillance de Publicis, a donc pesé de tout son poids, et joué la carte personnelle. Les deux hommes se connaissent depuis au moins 2016, lorsque Robin Li était venu à la toute première édition de VivaTech . Une fois confirmé, son séjour a été confié à une agence de communication parisienne, qui a tout calé en un mois de travail : traducteur, photographe, vidéaste, repérage technique… « C'était une opération coup de poing pendant laquelle nous avons agi comme un couteau suisse », raconte une personne qui a suivi les préparatifs.

200millions d'utilisateurs pour «Ernie»
A l'image de Robin Li, d'autres «top executives» de la tech chinoise reviennent peu à peu en Europe, alors que la Chine tente de relancer son économie. Objectif: dénicher des débouchés et montrer la montée en gamme technologique du pays. En février, William Lu, le président de Xiaomi, était ainsi venu à Barcelone au Mobile World Congress, le rendez-vous mondial des télécoms, pour présenter la SU7, la toute première voiture 100 % électrique construite par ce groupe davantage connu pour ses smartphones et autres gadgets électroniques…

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From www.lesechos.fr - May 27, 7:22 AM

Plus d'un milliard d'euros. Chez L'Oréal, l'innovation numérique le vaut bien. Le groupe français, qui entend garder un rythme de croissance nettement supérieur au marché , investit désormais chaque année, cette somme dans la tech et l'intelligence artificielle (IA). C'est un budget légèrement supérieur à celui consacré à la recherche. «Pour rester numéro un des cosmétiques, il faut être leader de la beautytech», assure Stéphane Lannuzel, directeur du programme «Beauty Tech» lancé en2018 chez L'Oréal. La beautytech est partout, avec les QR codes qui figurent aujourd'hui sur plus de 1,5milliard d'unités de produits. Les outils tech sont devenus le bras armé des soins de la peau comme des cheveux.

Le géant de la beauté a dévoilé, mardi 21 mai à VivaTech , un nouveau programme (New Codes of Beauty Creator Program) conçu en partenariat avec Meta. Il sera mis à profit à travers une trentaine de « créateurs experts », principalement des influenceurs, dans le cadre d'une collaboration avec, dans un premier temps, les marques puissantes de L'Oréal Paris, Lancôme, La Roche-Posay - engagées dans la tech et très présentes sur les réseaux sociaux.

Un laboratoire pour produire des images
Le groupe a par ailleurs présenté àVivaTech, un laboratoire, CreIAtech, exploitant l'intelligence artificielle générative ayant déjà produit plus de 1.000 images. Mais il s'engage à ne jamais exploiter des visages, corps, cheveux générés par l'IA, pour promouvoir un produit. Ce laboratoire s'appuie sur un espace créé avec Nvidia, hébergé de manière sécurisé chez L'Oréal.
Plus de 8.000 salariés sont impliqués dans la tech en interne, le double de la masse salariale des chercheurs. Mais l'entreprise aux dizaines et dizaines de marques ne veut pas en faire une affaire de spécialistes. « D'ici à la fin de l'année, nous allons former 40.000 collaborateurs à la GenAI », explique Stéphane Lannuzel, qui a l'ambition de développer une formation interne « GenAI pour tous ».

En2023, ce sont aussi 35.600 collaborateurs de L'Oréal formés au programme «Data for All» conçu pour former tous les collaborateurs à la gestion et utilisation de la donnée.Par ailleurs, L'Oréal University for Tech, Data and Analytics a dispensé 175.000 heures de formation l'an passé.
Le groupe a aussi son propre robot conversationnel interne, lancé l'an dernier : L'Oréal GPT, utilisant plusieurs grands modèles de langage (LLM), déployé pour l'ensemble des 90.000 collaborateurs pour avoir accès à diverses bases de connaissances internes : des données scientifiques, des argumentaires marketing, etc. pour trouver plus vite les bonnes informations. L'Oréal compte 20.000 utilisateurs uniques pour cet outil. Si le groupe n'a pas calculé le gain de temps, il est persuadé que L'Oréal GPT rend les collaborateurs « plus efficaces, plus rapides et plus créatifs », assure Stéphane Lannuzel.

Des outils de diagnostic avec 100millions d'utilisateurs
Mais l'Oréal a aussi investi dans ce qui se voit pour le consommateur: le géant des cosmétiques a ainsi présenté «Beauty Genius» en début d'année , au CES, la grande messe de l'électronique grand public à Las Vegas, : un assistant de beauté virtuel pour «mettre dans la poche de chaque consommatrice une conseillère beauté», explique le spécialiste. Concrètement, il s'agit d'une application gratuite dopée à l'IA avec laquelle on peut dialoguer à partir d'une liste de questions sur le type de peau, les besoins, qui incite à prendre une photo et propose des produits personnalisés. Le lancement est prévu aux Etats-Unis en septembre, puis en France en2025. Le groupe avait déjà lancé un diagnostic de peau à partir d'un selfie, peu après l'acquisition de ModiFace, en2018, une société canadienne, spécialiste notamment de l'essayage virtuel de produits.

L'Oréal, comptant environ un milliard de consommateurs, a recensé plus de 100 millions d'utilisations sur l'ensemble de ses outils de diagnostic l'an dernier. « Le taux de conversation est amélioré entre 1,3 et 1,5 fois à la suite d'un diagnostic. Et, les chiffres sont encore meilleurs en point de vente puisque 70 % des consommatrices ayant fait un tel diagnostic passent à un achat de produits, précise Stéphane Lannuzel. Les consommateurs veulent des recommandations personnalisées. On est passé d'une beauté pour tous à une beauté pour chacun ».

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From www.wired.com - May 26, 4:57 PM

In 2016, Noland Arbaugh suffered a spinal cord injury while swimming in a lake. The details are fuzzy, but what he remembers is rushing toward the water with his friends, diving in, and hitting his head on something—or someone. He floated to the surface, unable to move.

Doctors later confirmed that he was paralyzed from the neck down. Arbaugh went from being a self-sufficient college student to moving back in with his parents and relying on them for his daily needs. He learned how to get around in a wheelchair and use a mouth-held stick to operate an iPad, but the hardest adjustment was feeling like he was a burden on his family.

The year 2016 was also when Elon Musk cofounded the brain implant startup Neuralink. This January, Arbaugh became the first person to receive the company’s investigational device, dubbed Telepathy, as part of a clinical trial. Known as a brain-computer interface, or BCI, it decodes intended movement signals in the brain and translates them into computer commands. Arbaugh just has to think about moving a cursor on his laptop screen and it moves.

The experimental device has given Arbaugh, now 30, a sense of independence. Before, using a mouth-stick required someone to position him upright. If he dropped his mouth-stick, it needed to be picked up for him. And he couldn’t use it for long or he’d develop sores. With the Neuralink device, he has nearly full control of a computer. He can browse the web and play computer games whenever he wants, and Neuralink says he has set the human record for cursor control with a BCI.
Arbaugh isn’t the first person to get a BCI; one recipient, Nathan Copeland, has had one for nine years. Beyond Neuralink, several other companies are working to commercialize BCIs to help people with paralysis, mental health disorders, and even blindness.

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From www.lesechos.fr - May 26, 10:01 AM

La décision était attendue par les acteurs du monde des cryptoactifs. Et leur attente a été satisfaite. Le gendarme américain des marchés financiers (la Securities and Exchange Commission ou SEC) a approuvé jeudi les demandes d'enregistrement du Nasdaq, du CBOE et du Nyse pour des fonds cotés en Bourse (ETF) liés à l'ether, la deuxième plus importante cryptomonnaie derrière le bitcoin.

Les émetteurs d'ETF doivent encore obtenir le feu vert de la SEC avant que ces produits puissent être mis sur le marché, mais l'autorisation accordée jeudi, une étape préalable, est vécue comme une victoire par le secteur des cryptomonnaies. Jusqu'en début de semaine, beaucoup s'attendaient à un rejet des demandes d'enregistrement.

Plusieurs sociétés de gestion espèrent commercialiser bientôtces produits grand public. Une dizaine de dossiers, dont ceux des organismes financiers VanEck, 21Shares ou encore BlackRock, étaient sur le bureau de la SEC. Elle avait jusqu'à jeudi pour se prononcer sur celui de VanEck.

L'espoir est revenu lundi, lorsque la SEC a demandé aux opérateurs boursiers d'étoffer leur dossier. Cette nouvelle a donné un coup de fouet au cours de l'ether. En tout, il aura bondi de plus de 25% au cours des 7 derniers jours précédant la décision. Soit la hausse la plus importante de l'actif numérique depuis mai2022. La cryptomonnaie s'échangeait à près de 3.720dollars vendredi, d'après Coingecko.

Les portes de Wall Street
Ce n'est pas la première fois que la SEC ouvre les portes de Wall Street aux cryptoactifs. En janvier, elle avait autorisé les ETF au comptant indexés sur le bitcoin , créant un précédent considéré par les spécialistes comme une étape majeure pour l'adoption des cryptomonnaies. Et suscitant une véritable vague d'enthousiasme pour le jeton numérique .

Le lancement des premiers fonds indexés sur l'ether devrait intervenir dans les semaines qui viennent ( il avait fallu attendre presque un mois pour ceux indexés sur le bitcoin ). Les experts s'attendent à une hausse importante du volume des transactions en ether et à l'arrivée de nouveaux capitaux.

Le développement de ces ETF est considéré comme une étape majeure pour l'adoption des cryptomonnaies par un public plus large. Aux Etats-Unis, le grand public peut ainsi s'exposer au marché des cryptos sans avoir à ouvrir un compte sur une plateforme d'échanges spécialisée.

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